Une idée de nouvelles institutions intermicromondiales est venue du côté de l'île de Sant Eustaquy et rassemble dors et déjà un certain nombre de micronations par ailleurs démissionnaires de l'Archipel du Micromonde. Toutefois, ce réseau demeure purement informel, et ses canaux de communication sont restreints à la seule question de l'adhésion; ils ne sont pas utilisables à des fins diplomatiques bilatérales. L'Umujo s'engage sur la voie de l'intégration de ces futures institutions.
Oscar Dominguez a réouvert les canaux de communication de l'Archipel du Micromonde et a établi une charte de l'Institut Géographique du Micromonde. Le secrétaire de l'IGM annonce qu'il conçoit sa mission comme désormais temporaire et limitée à une fonction d'historien et de passeur de savoir: il n'a pas pour le moment envie de promouvoir les institutions de l'A.D.M. Les archives du Micromonde seront préservées sous son égide via une sorte de "Centre d'Etudes et de Connaissances sur l'Archipel". Selon Dominguez, l'IGM devra retrouver un repreneur.
D'autres micronations, nombreuses, semblent demeurer en retrait de ces débats. En tout cas, l'Umujo n'a pas connaissance de tout ce qui se fait et se dit, loin de là. En somme, la situation demeure confuse quant à l'avenir du micromonde.
Communiqué du 1er août 2011 du Towtàbroghi:
Les pourparlers entre micronations pour le maintien ou la refondation d'institutions intermicronationales se poursuivent. Il y a ceux qui ont quitté l'IGM et ceux qui y demeurent, et notre pays est loin de savoir tout ce qui peut se tramer ici ou là. Tâchons de survivre et de rester informés.
L'Umujo-Towtobroghi considère en attendant que les relations diplomatiques sont a priori bienvenues avec toute micronation, quelque soit son appartenance à telle ou telle institution micromondiale. Notre pays s'efforce de maintenir des relations bilatérales là où elles sont possibles en attendant le rétablissement de canaux de communication à la fois opérationnels et fréquentés.
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